Le seul pays au monde à agir ainsi : la France, cocorico!!!
Une école d'aïkido traditionnel FFLAB a été créé en 1981 représentant
l'enseignement de maître Tamura au niveau mondial.
Elle est devenue avec le temps et très rapidement, une fédération sportive
d'aïkido franco-française :
la "FFAB" sans le "L" de libre.
Celle -ci enseignants le dernier compromis de l'aïkido fédéral franco-français au lieu
de l'enseignement de Me Taura.
Autrement dit, au lieu de suivre d'enseignement d'un maître
élève du fondateur,
ils ont préféré l'enseignement mis au point par des politiques de fédérations
aux conceptions diamétralement opposées.
C'est un délire franco-français.
Voilà le genre d'erreur que font les consommateurs
du haut de leur ignorance
à vouloir satisfaire des besoins qui n'ont aucun rapport avec l'aïkido.
Une magistrale démonstration de ce qu'il ne faut pas faire.
Vous ne le lirez jamais nulle part, c'est pour ça qu'on vous le dit.
En effet il n'est pas très flatteur pour les membres de la "FFAB" de parler
de leur parcours ou de leur création :
Lorsqu'on connaît l'histoire on comprend pourquoi...
Il faut donc intégrer pour les élèves de Tassin qu'ils ne sont
pas des pratiquants
parmi tant d'autres, mais des élèves d'Alain Peyrache.
Ce statut particulier fait que d'autres pratiquant d'aïkido n'ont pas
un comportement normal avec eux.
Ils seront donc pratiquement toujours utilisés ou manipulés en vue de desseins qui leur échappe.
Maitre Tamura avait demandé à Alain Peyrache d'organiser
cette réunion fondatrice.
Devant les dérives sportives françaises qui polluaient de plus
en plus l'aikido,
il était temps de revenir à une pratique traditionnelle.
À ses débuts 'FFLAB' lors de la création à Tassin avait pour
objectif avoué
"une école traditionnelle d'aïkido sous la direction de Maître Tamura"
élève du fondateur de l'aïkido.
la FFAB est devenue en quelques années une fédération sportive, qui depuis bientôt
35 ans essaie toujours de décrocher une habilitation du ministère de la jeunesse et des sports.
"Pour faire du sport et des compétitions ?"
On est donc passé d'un fonctionnement au départ traditionnel
pour très vite devenir
en moins de cinq ans une classique fédération sportive,
ce qui a produit la même
chose que dans les autres disciplines judo, karaté etc.
Pour les mêmes raisons quand un art martial fonctionne
dans un milieu qui ne
lui convient pas et contre nature on a donc l'opposé de ce que l'on cherche.
Ce n'est pas une question d'individus :
même si vous les changez vous aurez le
même résultat tout simplement parce que ce résultat est généré par ce fonctionnement
et ce milieu délétère.
La FFLAB est donc devenu la FFAB sous la pression du ministère :
vous enlever
le L de libre car vous n'êtes plus libres mais à nos ordres et vous
fonctionnerez comme on vous le dictera.
En échange, vous recevrez un agrément de notre ministère :
les promesses n'engagent que ceux qui les croient disaient encore notre ancien président.
Aucune fédération sportive d'aïkido n'est habilitée
par le ministère de la jeunesse
et des sports depuis 2012.
De pauvres gens qui font n'importent quoi.
Devant le constat de cette "dérive sportive,
"Alain Peyrache notre professeur
quitta la FFLAB devenue FFAB, pour continuer l'enseignement
traditionnel dans le cadre de son dojo "EPA ISTA".
La réunion fondatrice de la FFLAB à Tassin
est à l'origine de cette
école devenue aujourd'hui
une fédération sportive c'est-à-dire exactement l'inverse.
Pourquoi Maîtres Tamura a-t-il demandé à Alain Peyrache d'organiser
la fondation de cette école traditionnelle ?
Tout simplement parce qu'il savait son attachement à cet enseignement,
et qu'il ne se laisserait pas impressionner par qui que ce soit.
Dans les cas exceptionnels, on a besoin de gens exceptionnels.
Il est intéressant de noter que les cadres actuels de cette fédération
à cette époque là n'étaient pas présents.
Une des erreurs qui a été commise lors de cette création c'est d'avoir mis
Alfred Cahn polytechnicien franc-maçon ici pour diriger la
manœuvre de cette école.
Les dérives sportives étaient dues déjà à des francs-maçons
on n'en remis un en place (on l'a su qu'après...)
ce qui de a évidemment donné le même résultat que ses petits frères
prédécesseurs.