seifuku
A. Peyrache laisse souvent J. Megret diriger cette partie du cours
Il est rare que notre maitre ne soit pas sollicité chaque fois qu'il fait un cours
par un pratiquant à exercer son art des seifukus.
C'est pourquoi il délègue très souvent cette partie de fin de cours à ses uchis ou sotos deshi, Jeff, Jérémie, Jacques dans les stages et à Gérard dans notre dojo.
Comme le veut la tradition, ce sont les uchis deshis qui enseignent afin que le professeur puisse vérifier
la rigueur et la précision avec laquelle ils transmettent son enseignement et pas leurs propres délires.
Comme l'aikido un "art traditionnel japonais"
Ne pas oublier que "traditionnel" veut dire transmission d'un enseignement de maitre à disciples ...
on est donc à l'opposé de ce qu'on voit de partout où celui qui n'y connaît pas grand désireux de glorifier son égo objectif de sa pratique
fait n'importe quoi pourvu que ce soit original...
Pas étonnant que des clubs sportifs n'ont d'aikido que le nom...! Si ces victimes d'égo obèse sans scrupules ne rencontrent pas un vrai maitre elles n'auront qu'une piètre opinion de l'aikido... Ainsi va la vie... Tout professeur à des têtes de classe, voir des surdoués mais aussi des cancres.... Tous les élèves du fondateur se sont proclamés son élève préféré... étonnant non ?
Seifuku "stage aïkido" de
Vic en Bigorre
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La technique en aïkido est un outil à quoi sert-elle ? Que faire avec ?
Imagine-t-on un mécanicien empiler des outils sans jamais dépanner une voiture ? Confusion de l'objectif avec le moyen d'y parvenir. Une erreur fréquente chez la plupart des pratiquants d'arts martiaux et bien sûr en aikido... Il est vrai que cela ne demande pas beaucoup de compétences, il suffit d'être un peu sportif... Même un mauvais sportif fera illusion....
Il suffit de faire mal, faire transpirer même si on fait n'importe quoi on aura l'impression d'avancer de progresser d'apprendre.
"Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine.
Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue."
Albert Einstein
Cette tâche, lorsque plusieurs maitres officient, est réservée au plus jeune, au moins compétent... Comme à l'armée, il s'agit d'un art martial donc militaire, c'est le rôle des sous-officiers... Comme sur un tatami, chacun à sa place. Voilà donc une petite règle de reishiki au passage.
Les techniques martiales ne représentent que 10 % du savoir d'un aïkidoka.
La pratique martiale comme toutes les activités physiques peut endommager notre corps,
savoir le remettre en bon état fait partie de la culture martiale.
Afin de toujours être en pleine possession de ses moyens pour un maximum d'efficacité.
Le dojo de "Jeff" (soto deshi d'Alain Peyrache" à Montbazens dans l'Aveyron 12
Dojo aïkido de Montbazens 12 »